[Intro event Rp][Libre] Voyage

Port d'Hurlevent, de bon matin.

En cette heure matinale, les seuls bruits qui viennent perturber le silence du port sont les cris des mouettes, le clapotis des vagues contre les pontons et les discussions des dockers et divers pêcheurs en partance.

Un groupe d'une demi-douzaine de matelots avance le long du ponton, et vient se présenter à l'entrée de la Durance à la Sentinelle de garde.

" Nous sommes les marins du cap'tain Hovendorf, m'sieur, commença le chef. On vient voir le navire, et commencer les travaux. "

Il présenta un papier signer de la main du Général Régalia, attestant de leur affectation, et monta à bord, suivi par ses camarades.

Ils posèrent leurs affaires, et commencèrent à parcourir le bateau, le jaugeant, avant de sortir leurs outils et d'entamer les travaux de réhabilitation de la Durance, la plongeant dans un perpétuelle fond sonore de chantier, de blagues grivoises et autres injonctions marines.

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[HRP] Voici de quoi mener doucement à l'event Rp en préparation. Il s'agit également que le Rp sur la Durance en jeu prenne en compte la présence des maris sur le navire, ainsi que les travaux en cours. N'hésitez pas à répondre.

Elle était assise sur une caisse a lire un livre, une petite habitude depuis quelque temps. Son regard se soulevais souvent..voir ses hommes travailler avec leur muscles est un délice pour les yeux..et y'en avais des pas mal. Mais elle ne ferais que regarder...

Pas moyen de travailler, ce jour là.
La paperasse administrative, Valenth en avait par-dessus la tête. Le virage que s'apprêtait à prendre les Sentinelles requierait des documents officiels qu'il fallait remplir et valider, des visites officielles à d'ennuyeux ambassadeurs à travers toute l'Alliance. C'était bien simple : ces derniers jours, le Général n'était pas disponible et semblait purement et simplement inexistant. Pour lui, même le temps partagé à avec Kzandra se faisait rare et il en venait presque à regretter les disputes plus où moins voilées avec Olïa.

Le bruit des travaux l'avait distrait et avait achevé son reste de motivation à s'acquitter de ses tâches ô combien rébarbatives, si bien que Régalia avait quitté son bureau pour venir se poster sur le pont supérieur, observant les marins s'agiter. Vaendir avait tenu parole et lui avait trouvé des hommes à la hauteur de la tâche. Rénover la Durance pour un voyage en mer, mais aussi y faire des modifications internes pour quelques réaménagements tant de confort que d'utilité directe... Voilà qui marquait la volonté des Sentinelles de s'offrir une nouvelle vie.
Bientôt, la troupe partirait en mer pour un voyage de plaisance et en reviendrait profondément modifée. Peut-être -sûrement, en fait- amputée également de quelques membres, sacrifice douloureux mais nécéssaire à l'évolution dans le bon sens.

Valenth observa Olïa un petit sourire amusé aux lèvres avant de s'assoir sur un rebord du bastinguage, les bras croisés et le regard parcourant l'horizon.
Il était temps de grandir un peu.

Un homme avait accompagné l'équipe de travailleurs, mais était resté sur le pont.
Emmitouflé dans ses couches de tissus d'ombres, l'homme restait là à fixer sombrement l'horizon jettant de temps à autre un petit regard au bois flottant sur les douces vagues venant s'échouer au port de Stormwind...

Tranquillement installée dans sa cabine une aiguille et du fil à la main, Sarätogha apportait quelques retouches à la robe de Kzandra tout en regardant Faldron travailler. Il avait l'air un peu fatigué ...

Elle posa son ouvrage et se leva pour le rejoindre. Elle mit ses mains sur ses épaules et commença un massage à son fiancé. Ça lui fera sûrement du bien.

Sarätogha sourit à Faldron.

Oui, biensûr !!

Glandouiller, voilà ce que Kzandra avait appris à faire à bord de la Durance... Ce n'est pas totalement vrai : elle avait pour habitude de s'adonner à des taches on ne peut moins spirituelles et on ne peut plus anodines.

C'est encore le cas sur le moment... les armes entreposées nonchalamment sur leur ratelier, les draps de la cabine du Général en fourbi, elle se lève à peine et a pour idée en tête pour cette belle journée de penser à trouver tout ce qui est indispensable à un voyage en mer...

"Mais... euh... je n'ai jamais vrRaiment voyager suRr l'eau en fait... Du moins à parRt une trRaverRsée ou deux de KalimdoRr aux Rroyaumes de l'Est... Il faut quoi suRr un bateau... ou du moins, de quoi aurRa t'on besoin avec Doudou et que nous n'aurRons plus si nous parRtons suRr la meRr?"

Réfléchir et Kzandra, ça fait deux selon nombre de gens mais ce n'est pas qu'elle ne sache pas le faire, elle a une façon ... différente de cogiter, dira-t'on.

Débarquant en tornade sur le ponton après avoir enfiler deux bouts de tissus dissimulant à peine un dixième de sa peau, elle vole un baiser en passant à Valenth et saute sur le débarcadère un panier à la main.

"Je rReviens ce soiRr avec tooooooout ce qu'il nous faut pouRr fairRe un bon voyage, Doudou."

Guillerette et complètement à deux cents lieues de concevoir réellement le but de l'appareillage en mer, elle va faire ses courses comme on organise un pique-nique...

(Ce qu'elle ramènera sera développé plus tard, évidemment)

Sestrielle, Kharyanide de Sestrielle, la hautaine, pédante, toujours à rabaisser les autres, Dame Kharyanide de Sestrielle...

Mettre le nez sur le pont de la Durance alors qu'il grouille de cloportes sans éducation ne fait en général pas partie des habitudes de la Lumineuse au regard de glace. Mais aujourd'hui c'est différent. Les Sentinelles vont partir en mer...
Elle est une Sentinelle.
Pas toujours aimable.
Pas toujours souriante.
Et surtout pas du tout appréciée.
Mais elle s'en moque.

Je dois voir Régalia. En savoir plus. Quelle imbécilité ce paysan sans nom nous aura-t'il encore inventé?

Elle aperçoit Dame Olïa qu'elle salue de loin d'un hochement de menton à peine visible mais ô combien une marque de respect de sa part, un humain à la posture noble mais qui n'est guère la cible de sa sortie hors de son antre, l'autre Kaldo'rei illuminé et fumeur de Feuillerêve qui débarque avec sa poule au quotient intellectuel de moule avariée et la sœur de celle-ci qui elle n'a même pas la moitié de ce QI avec tout dans le "Q" et rien dans le "I" et qui sautille comme une débile...

Quel ramassis de branquignoles...

Un pas assuré la conduit jusque dans le dos du Général sur son "trône royal". Une voix sèche, déterminée à la limite de l'antipathie totale contraste avec la bienséance du verbe employé.

Mes Respects, Ô Général Régalia. Quelle entreprise votre noble navire, notre humble toit et nos modestes personnes sont-ils amenés à joindre dans les heures à venir?

Elle sourit avec la plus insolente des ironies, mais semble attendre un minimum de son supérieur nonchalant et dépravé.
Kharyanide... Kharyanide de Sestrielle...

La tornade Kzandra était passée aussi vide que les pensées remplissaient généralement la tête de la donzelle, tirant Valenth de sa semi torpeur. Le lordaeronien avait à peine eu le temps de répondre au baiser de K que déjà il la voyait s'éloigner sur le débarcadère à la recherche de tout ce qu'elle considérerait nécéssaire à la traversée. Quelque chose soufflait à Valenth que tout ça ne promettait encore rien de bon.... Bah, comme d'habitude, en fait. Il aviserait après coup et adviendra ce qui devra advenir !
Regardant K' s'éloigner (tout en ne manquant rien de son superbe remuage de popotin), le général ne sentit pas la Dame Blanche arriver dans son dos, jusqu'a ce que celle çi ne se manifeste avec toute l'hypocrisie qu'elle réservait à son supérieur. De Sestrielle, où l'art de jetter un froid en société.
Régalia leva les yeux au ciel, semblant interroger ce dernier sur le pourquoi de cette punition divine que semblait être cette fichue prêtresse. Une malédiction, quelque chose du genre, peut-être ? L'homme se retourna enfin, saluant la donzelle d'un mouvement de tête avant de prendre la parole.

- Vous avez aussi mes respects, Sestrielle. Etre capable de tant de fiel avec tant de politesse, j'en serais toujours impressionné.

Dans un sourire et d'un petit geste de main, il invita Kharyanide à s'assoir sur le bastinguage. Pure politesse, Valenth sachant parfaitement qu'elle ne poserait ses fesses là où lui se trouvait, juste par esprit de contradiction.

- Votre charmante personne part en croisière avec ce navire et le reste de ses occupants, Sestrielle. Et vos justifications importerons peu : un refus de venir vous assurerais d'être exclue des rangs.

Visiblement, Valenth ne plaisantait. Après tout, Khary avait déjà été sur la selette une fois et Régalia ne perdait pas de vue le fait qu'elle pouvait être un danger pour l'ensemble de la guilde à sa façon. Tout le monde n'avait pas sa capacité de patience et d'acceptation non plus et le général se voyait un peu comme le seul garde-fou de la Dame Blanche. C'était peut-être erronné, mais... Valait mieux prévenir que guérir.
Il la fixa un moment avant de reprendre la parole d'un ton tranquille, mais ferme.

- Nous arrivons à un moment charnière de l'histoire de l'Ordre, Kharyanide. Les Sentinelles vont être profondément revues et je ne tolérerais plus vos "écarts de sociabilité". J'ai besoin d'avoir des gens sur qui m'appuyer, pas des éléments à redresser sans cesse. Vais-je pouvoir compter sur vous ?

Faldron sourit à sa fiancée et se leva de sa chaise avant de déposer un léger baiser sur ses lèvres et de l'entrainer sur le ponton inférieur. Ils sortirent main dans la main, et eurent à peine le temps de voir Kzandra descendre du bateau pour aller en ville. L'elfe esquissa un sourire et tout en écoutant distraitement la discussion sur le pont supérieur entre le Général et sa compatriote, il avisa un moment l'homme sur le quai, emmitouflé sous une cape alors que le beau temps et la chaleur estivale gagnaient en force. Il lâcha la main de Sara, descendit du bateau et s'approcha à une dizaine de pas de l'homme.

- Salutations, sire. Y'a-t-il quelque chose que nous puissons faire pour vous aider ?

L'Elfe s'approcha de l'homme emmitouflé dans ses draps sombres.

"- Salutations, sire. Y'a-t-il quelque chose que nous puissons faire pour vous aider ?"

De sous ses draps, l'homme toisa l'Elfe un moment...il semblait être un homme sage, si l'on devait se diriger vers quelqu'un on ne pouvait mieux tomber..

Il ouvra alors la bouche et d'une voix terne et plate...

"- Bonjour mes sir Kaldo'rei. Je viens à vous car j'ai cru comprendre que vous recrutiez du monde ? Je me présente je suis...Mehen"

Les quelques paroles acerbes du Général doivent vraiment teinter comme de petites cloches narquoises mais au son si désagréable à l'oreille que paradoxalement, Dame de Sestrielle doit les prendre comme les clairons de la victoire tant elle ne peut retenir un levé de commissure de lèvres.
Kharyanide... condescendante...

Ô mon Général, vous douteriez de ma loyauté envers vos ordres et de mon allégeance à la livrée des Sentinelles? Ne vous méprenez pas, ô Général Régalia, ma personne est votre humble servante, vous ne le savez que de trop. Je vous suis redevable et mon interrogation ne portait que sur le but de cette embardée en mer. S'agit-il d'une mission? D'un petit voyage d'affaire? Ou l'appel d'une sirène au chant obnubilant?

Elle marque un petit temps d'arrêt entre ses paroles imprégnées du plus désobligeant des venins.

Vous avez besoin de personnes de confiance, ô Général, mon Général? Mais ne savez vous donc pas encore que je suis une de vos fidèles les plus dévouées, ô Général Régalia?

L'hypocrisie est à son comble mais s'agit-il réellement d'une haine viscérale ou simplement d'un jeu?
Sestrielle...

Au ton et aux paroles de Kharyanide, Valenth se contenta d'esquisser un petit sourire tout en gardant son regard sur l'activité du port.
Entamer une discussion de fond avec la Sestrielle, c'était comme jongler avec de la dynamite. Ca avait un effet perversement excitant, mais ça risquait de brûler sévèrement à un moment où un autre. Le général était bien placé pour le savoir : cette fille était une peste avec la tête plus dure qu'une armure de plaques. Il n'ignorait pas qu'a sa façon, de Sestrielle aimait les Sentinelles et ses joyeux drilles, bien sûr. Mais la Dame Blanche n'avait pas le talent d'intégration que certains autres avaient. Ah, si Kharyanide avait été aussi mesurée que Faldron ! Quel chef de file elle aurait fait ! Au lieu de ça, elle était dure comme pouvait l'être Ephrôn et aussi aimable qu'Olïa qui radotait sans cesse les erreurs que le Général avait commises à son égard.
Les femmes, le pire ennemi de l'homme. Où n'étaient elles que ses némésis à lui ? A trop les aimer... Bref. L'homme planta finalement son regard dans celui de Khary.

- C'est davantage un voyage d'agréments qu'une mission. Les derniers mois ont été éprouvants pour beaucoup d'entre nous et laisser aux troupes la possibilité de se détendre ne sera pas un mal pour aborder notre nouvelle vie. La traversée sera aussi l'occassion de nous assurer de la fidélité des nôtres et la façon d'amorcer notre changement de peau. Vous en serez davantage en avant première... Peut-être.

Fouillant dans sa poche tandis qu'il parlait, Valenth en tira un anneau de Sentinelle. Comme les autres, à ceci près que celui çi était orné de deux pierres rouges et non pas d'une, comme celui que portait logiquement la Dame blanche.
Le posant face à lui, le lordaeronien le désigna à son interlocutrice d'un mouvement de menton.

- C'est un anneau cardinal, auquel sont accrochées les pouvoirs et surtout les responsabilités l'accompagnant. Faldron en possède un, Ephrôn également. Olïa devrait perdre le sien pour un autre. Différent. Mais je me retrouverais en quelque sorte "amputé" d'un de mes plus proches et sûrs seconds. Il est normal que je pense à le remplacer, même si la tâche sera ardue.

La regardant d'une façon qu'il voulait un tant soit peu énigmatique, Régalia posa tout à côté de l'anneau une petite lettre cachetée de la Rose des Vents qui symbolisait les Sentinelles. Dans le mouvement, peut-être la prêtresse avait elle pût lire son nom sur l'autre face ? Peut-être.

- Ceci est votre lettre de révocation, dûment signée de ma main. Je vous prie de croire qu'elle est parfaitement officielle, Kharyanide. Alors maintenant, jouons tout les deux franc-jeu, sans gentilles piques acides et sans faux-semblants. Si vous avez le coeur d'une Sentinelle, c'est maintenant qu'il va falloir me le prouver.

Régalia attendait, espérant que la jeune femme abandonne le temps de quelques arguments tout son fiel et son hypocrisie. Lui ne s'encombrerait plus de détours, comme en témoignait la missive qui attendait son sort, posée sur la rembarde.

Première réaction, celle qu'attend le gaillard, le Régalia qui l'attend elle au tournant. Un piège?... Fermeté, ne pas montrer que l'on peut être déstabilisée.

Sans hausser un sourcil, sans marquer d'un quelconque rictus les traits de son visage, Sestrielle s'approche des deux breloques "officielles" à son attention. Avant de desserrer les mâchoires, elle s'en saisit, tout en gardant le regard fixe et hautain accroché sur celui du Général. Elle sait. C'est une proposition, un honneur, une marque de confiance. Lui sait, voilà ce qui est troublant. Il sait qui elle est? Il lit en elle? Ne rien montrer. Les lèvres se délient, toujours ce petit ton sec limite prétentieux, mais l'ironie ne teinte pas les paroles :

Bien Général. Vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je vous remette celui qui ne me sera pas utile après réflexion, je suppose? Votre petite virée en mer sera mon temps de réflexion, si cela ne vous incommode, évidemment.

Kharyanide fourre la lettre et la bague sous des plis de robes et sans demander son reste salue son supérieur chichement d'un mouvement de menton... Départ précipité?

Sestrielle déstabilisée?

Depuis tout ce temps, la ou les chefs et les membres de l'équipage parle et hurle depuis la brise du matin, au port de Hurlevent. Tharanos était assis au bord du pont,celui de la Durance. A regarder le va-et-vien des vagues...Levant la téte quel'que fois pour regarder la mer et le phare de la ville. La téte calme et reposé, avec une brindille qui dépasse de la bouche. Le vent tournais, les mouettes criaient, et lui, avait bel et bien changé depuis son voyage étrange.

Il n'étais plus le méme et on ne l'entendait plus depuis les marches qui ménent au quartiers de la ville. Il y a un mois, on aurait cru qu'il serait malade, mais non, il et tout a fait normal...Il et juste calme enfaite il et méme content. Tout en regardant les vagues toucher la coque du navire il dit :

'C'est quand méme agréable ce calme de la mer, si on oublit les cris.'

Il eu un petit sourire, et continua d'admirer la mer dans toute sa splendeur.

Tharanos eu un sursaut, le cris de Salindra ne passa pas inapercue. Il se penchat et regardit l'entrée du navire, puis vus la demoiselle en question et son gros lézard.

Sa ne va pas de crier comme ca ? il y en a qui cherche le calme !!

"Désolé Tharanos ! Dit le Général est-il la ? Car je suis venue pour installer mes affaires pour le grand voyage !!!! Et surtout le général il a dit qu'il avait une idée pour que mon bébé parte avec moi !" Déclara t'elle avec un grand sourire !

Il se mit a sourire a la jeune femme en dessou de lui, puis dit :

'Va voir aux cabine ou a la salle comune, je ne l'ais pas vus moi.'

Aprés lui avoir fait le signe d'entrer, il se rassit et se remis dans son calme sous les vague de la mer, et le chant du vent.

- Il est là, le général.

D'un sourire, Valenth se planta derrière Salindra après avoir quitté Kharyanide. Oui, il avait trouvé une solution pour que la chasseresse emmène son monstre durant le voyage, mais comptait bien y mettre quelques conditions, considérant qu'il offrait à la gilnéene un privilège.

- Je vous préviens, Salindra... Si votre bébé se montre agressif, sale où invivable, vous en paierez les conséquences. Par respect envers le lien qui vous unit à cette... Bestiole, je vous passe ce petit caprice mais je serais intraitable si mon navire devient une foire. Suis-je clair ?

Oh non, il ne plaisantait pas ! Son ton strict et son regard un peu dur en témoignaient. Il valait mieux pour la demoiselle qu'elle se plie aux demandes de son général, si elle voulait vraiment que "bébé" fasse la traversée avec le reste de la troupe.